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Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 23 nov. 2019 18:32
par Koolseb
Un compte rendu du concert de Marseille assorti de belles photos!

http://www.concertandco.com/critique/co ... /53408.htm


Image

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 23 nov. 2019 18:52
par __Marine__
Merci Koolseb !

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 26 nov. 2019 19:27
par julien.r
Je vous laisse aller sur weculte decrouvrir son entretien et son FUTUR PROJET !!!!!!!!!!!!!

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 26 nov. 2019 21:55
par caféine
julien.r a écrit :
26 nov. 2019 19:27
Je vous laisse aller sur weculte decrouvrir son entretien et son FUTUR PROJET !!!!!!!!!!!!!
T'aurais pu mettre le lien tu sais bien qu'on est des feignassous ;)
https://www.weculte.com/featured/rencon ... compromis/

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 26 nov. 2019 22:58
par liob3384
J'ai lu. C'est tres bien.

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 28 nov. 2019 11:12
par lehasard
https://www.lemonde.fr/culture/article/ ... _3246.html

Article en entier réservé aux abonnés.

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 28 nov. 2019 18:00
par caféine
lehasard a écrit :
28 nov. 2019 11:12
https://www.lemonde.fr/culture/article/ ... _3246.html

Article en entier réservé aux abonnés.
Eh oui, aux abonnés....mais je suis quand même bien contente que le Monde lui consacre un article, et il y a peut-être un abonné dans le coin ;)

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 29 nov. 2019 09:25
par Zaël
Parce que c'est vendredi,parce qu'il neige dans mes montagnes et parce que je suis de bonne humeur ;)

C’est un acte artistique au long cours qui a débuté le 16 juin 2016, avec l’ouverture d’un site Internet (culturecontreculture.fr) et l’annonce d’un projet nommé Le Manifeste. En maître d’œuvre, Damien Saez, auteur-compositeur, chanteur, pianiste et guitariste, dont vient d’être publié, vendredi 22 novembre, un nouvel album, le quatrième avec cet intitulé générique. Son titre complet : Le Manifeste 2016-2019 Ni dieu ni maître, trente-neuf chansons réunies dans un quadruple album.
« Quand je lance Le Manifeste, je le conçois comme une œuvre numérique qui ne serait pas contrainte par le nombre de chansons que l’on peut mettre sur un disque, un voyage à plusieurs entrées », explique Damien Saez, dans les locaux parisiens d’Alias, la société de production de ses concerts depuis 2002. Le site Internet, qui vient d’être réaménagé, « c’est une maison d’artiste ». Avec un accès libre pour partie, un abonnement mensuel pour profiter de l’ensemble, sur lequel sont proposés des poèmes en prose, des courts-métrages, des messages, des photographies, des chansons inédites.

« On vient ici pour ma musique, ma discographie, celle du passé, tout ce qui est lié au Manifeste, ce qui viendra dans le futur, pour 5 euros par mois, ajoute Damien Saez. Il y a aussi un but éducatif par rapport à ce que la société renvoie sur la valeur de la musique, avec les plates-formes de streaming, qui disent mettre toute la musique du monde pour 10 ou 15 euros, mais dans un grand fouillis, où la rémunération ne correspond pas à ce qui est réellement écouté. » Le chanteur reste toutefois présent sur des plates-formes, par un accord de son label 16Art, en contrat de licence avec Cinq7 (Wagram).
Attentats, luttes sociales, Notre-Dame : l’écho des drames

Le Manifeste, ce sont aussi des concerts. Une première tournée a eu lieu de décembre 2016 à avril 2017. En cette fin d’année 2019, la deuxième a débuté à Brest ce 9 novembre et se terminera le 13 décembre, à Tours. Dans des grandes salles de type Zénith, avec des jauges de 5 000 à 6 000 places, d’autres plus élevées, au-delà de 10 000 personnes, dont l’AccorHotels Arena, à Paris, le 3 décembre – les affiches ont conservé l’ancien nom de Bercy. Les concerts de Damien Saez peuvent souvent durer près de trois heures. A Paris, cela pourrait doubler : « Je pense que je vais commencer, en acoustique, quand le public sera encore en train d’arriver. Et puis il y a toutes ces chansons écrites sur Paris, depuis vingt ans, que j’avais envie de centraliser sur un concert. Paris qui a aussi été le lieu de violences, de drames. »

Ce dont Le Manifeste 2016-2019 Ni dieu ni maître se fait l’écho, avec quelques compositions déjà présentes sur trois autres albums à l’emblème du Manifeste, qui ont été parfois remixées, et de nouvelles : les attentats terroristes contre Charlie Hebdo (Tous les gamins du monde), le Bataclan (Les Enfants Paradis), où Damien Saez sera l’un des premiers à jouer en décembre 2016, quelques semaines après la réouverture de la salle, le mouvement des « gilets jaunes » (Manu dans l’cul, avec les mots des colères de la rue), l’incendie de Notre-Dame (deux versions de La Dame en feu), « un symbole aussi de notre histoire culturelle, indépendamment de la foi, de tous ces lieux de notre patrimoine délaissé ».

Sans suivre une chronologie, les chansons de Ni dieu ni maître, que Damien Saez définit comme une « fresque sociale », ont été rassemblées en deux parties, L’Humanité et L’Humain. La première, plus globale, parle de luttes et de contestations, des guerres au nom de la religion, du capitalisme, de l’immigration, des débats sur le voile, des violences faites aux femmes – « la vague Internet a entraîné un changement dans les discours mais pas dans les comportements, parce que là, en fin d’année, il y a encore plus de féminicides » –, ou encore de l’« hystérie des réseaux sociaux, de la démagogie permanente avec, comme dans les jeux du cirque, les pouces levés et des pouces baissés ». Ses concerts débutent par une chanson qui n’est pas sur l’album, Colisée.

L’Humain, « ce sont plutôt des personnages, de l’intime, des déclarations d’amour ». Il y a Germaine, « une écorchée vive, une révoltée, la fureur de vivre dans la sexualité, l’alcool », Mohamed, portrait du grand-père maternel de Damien Saez, ou Jojo, à propos de Johnny Hallyday et « ce qu’il a représenté pour un tas de gens, ce monde d’ouvriers et d’employés qui a l’impression de disparaître avec sa mort ». Saez s’amuse que cela puisse paraître décalé, lui dont la filiation avec Barbara, Brassens, Brel ou Ferré est évidente.


Voix et piano ou guitare acoustique, avec rythmique électrique ici, orchestre de cordes là, Ni dieu ni maître se conclut par L’Humaniste, « pas un autoportrait, mais quelque chose vers lequel j’aimerais tendre, aimer l’autre plus que s’aimer soi, que je me fixe comme une quête ». Presque à la fin de l’album, une composition orchestrale, sans texte, annonce déjà un nouveau projet : « Quasiment que des thèmes instrumentaux, la force de la musique en tant que telle ».

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 29 nov. 2019 10:46
par Mélie
Merci Zaël :)

Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse

Publié : 02 déc. 2019 13:58
par __Marine__
https://www.desinvolt.fr/2019/12/02/405 ... 2016-2019/

me mettre en avant c'est pas trop mon truc. alors je pose ça là... suis pas trop satisfaite mais on fera mieux la prochaine fois.