Ni dieu ni maître - Revue de presse
Modérateur : maître charpentier
Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
En 2019, Saez aura fait le buzz pour :
- les paroles sexistes et misogynes de p'tite pute et #humanité ;
- une fin de tournée annulée ;
- son alcoolisme.
C'est d'un triste ...
- les paroles sexistes et misogynes de p'tite pute et #humanité ;
- une fin de tournée annulée ;
- son alcoolisme.
C'est d'un triste ...
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Moi je crache mon venin à la face du destin !
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Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Ce qui est triste, c'est de voir comme "lesmédias" se pompent le contenu entre eux.
C'est clairement pas Anatoline qui aurait fait le buzz, c'est pas le bon format.
- __Marine__
- Brioche saezienne
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Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Du coup, j'en profite pour poster une interview de Damien par la MML.. Et ben au moins, on peut dire ce qu'on veut.. Il change pas son fusil d"épaule
(cf la partie où il dit qu'il pourrait vendre 2-3 fois plus)
(cf la partie où il dit qu'il pourrait vendre 2-3 fois plus)
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Et les démons d’antan, à la sueur de mes poings, je combattrai Comme un vieux chêne tient quand l’orage a tout naufragé
Et les démons d’antan, à la sueur de mes poings, je combattrai Comme un vieux chêne tient quand l’orage a tout naufragé
Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Il aurait été plus juste de dire:
- les paroles interprétées par certains comme sexistes et misogynes de p'tite pute et #humanité ;
- une fin de tournée annulée pour raison médicale;
- son alcoolisme supposé.
Les nuances ont leur importance. Parceque boire en tournée ce n'est pas boire au quotidien. Parceque critiquer une instagrameuse ce n'est pas critiquer les femmes. Parceque caricaturer Nabila (pour ceux qui n'auraient pas encore compris le sens de P'tite Pute...) ce n'est pas critiquer les femmes. Parceque critiquer le voile ce n'est pas critiquer la femme. Parceque lorsque quelqu'un est malade c'est lui la première victime.
Ce qui est triste c'est surtout de donner une once de crédit au buzz. Le buzz ce n'est rien de plus que de la bêtise collective...
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Retourner à la mine, à la mine du crayon
Contre leurs champs de mines en tout genre, mort aux cons!
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Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Oui, enfin là, on a quand-même eu une confirmation officielle qui parle d'addictions. Donc s'il n'y a pas l'alcool parmi celles-ci, ce serai fort de café.
Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Merci.Koolseb a écrit : ↑30 déc. 2019 22:51Il aurait été plus juste de dire:
- les paroles interprétées par certains comme sexistes et misogynes de p'tite pute et #humanité ;
- une fin de tournée annulée pour raison médicale;
- son alcoolisme supposé.
Les nuances ont leur importance. Parceque boire en tournée ce n'est pas boire au quotidien. Parceque critiquer une instagrameuse ce n'est pas critiquer les femmes. Parceque caricaturer Nabila (pour ceux qui n'auraient pas encore compris le sens de P'tite Pute...) ce n'est pas critiquer les femmes. Parceque critiquer le voile ce n'est pas critiquer la femme. Parceque lorsque quelqu'un est malade c'est lui la première victime.
Ce qui est triste c'est surtout de donner une once de crédit au buzz. Le buzz ce n'est rien de plus que de la bêtise collective...
Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
À la lecture des médias, je ne vois pas où sont les nuances dont tu parles.
(sauf si c'est pas à moi que tu réponds mais aux journalistes)
Oui oui bien sur. Tenir debout après 3 bouteilles de Jack Daniel's environ 20 soirs tous les deux ans ne nécessite aucun entraînement au quotidien. Votre déni n'a aucune limite.
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Moi je crache mon venin à la face du destin !
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Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Cher Blat,
Un peu chagrine par ta dernière phrase.
Ce que j'aime dans le message de Koolseb est qu'il nous remet, nous, son public, à notre place. Qui sommes-nous pour dire : Damien Saez a -ce que j'appellerai pudiquement- un problème avec l'alcool ?
Perso, je ne suis pas sa mère, ni sa femme, ni son amie, ni son médecin. Juste, en l'occurence, une personne qui aime ce qu'il fait. Et si, personnellement, le voir s'abîmer comme il s'abîme attriste mon petit coeur de maman, je suis également dans l'obligation, juste parce que je ne suis QUE une personne qui écoute sa musique tout comme les journalistes et ergoteurs de réseau, de me dire : mais il fait ce qu'il veut le bonhomme. Il est libre. Il n'a pas besoin de ton avis ni de ceux des réseauteurs. J'espère qu'il s'en fout un peu même. Qui suis-je pour poser le diagnostic d'une dépendance ? Pour caractériser son type de consommation ? Pour m'en soucier au-delà du sentiment d'humanité que je peux avoir pour une personne qui (se) donne tant à un public toujours un peu plus assoiffé de tripes et de rab de minutes de concert ? Si j'étais vraiment forte, droite et cohérente dans ma tête, je dirais que je m'en fiche, mais je ne suis pas forte. Je vois que son corps souffre et cela m'attriste. Je n'appelle pas cela du déni, mais de la distance quant à son intimité et finalement, du respect.
Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Un peu de nuances... aussi serait bienvenue, ça commence à bien faire de dire que ceux qui sont pas d'accord avec toi parfois, comprennent pas le sens d'une chanson...
Re: Ni dieu ni maître - Revue de presse
Qu'on souhaite mettre la distance, et par respect lui laisser son intimité, ça me semble tout a fait louable comme attitude.Ema a écrit : ↑03 janv. 2020 18:25Cher Blat,
Un peu chagrine par ta dernière phrase.
Ce que j'aime dans le message de Koolseb est qu'il nous remet, nous, son public, à notre place. Qui sommes-nous pour dire : Damien Saez a -ce que j'appellerai pudiquement- un problème avec l'alcool ?
Perso, je ne suis pas sa mère, ni sa femme, ni son amie, ni son médecin. Juste, en l'occurence, une personne qui aime ce qu'il fait. Et si, personnellement, le voir s'abîmer comme il s'abîme attriste mon petit coeur de maman, je suis également dans l'obligation, juste parce que je ne suis QUE une personne qui écoute sa musique tout comme les journalistes et ergoteurs de réseau, de me dire : mais il fait ce qu'il veut le bonhomme. Il est libre. Il n'a pas besoin de ton avis ni de ceux des réseauteurs. J'espère qu'il s'en fout un peu même. Qui suis-je pour poser le diagnostic d'une dépendance ? Pour caractériser son type de consommation ? Pour m'en soucier au-delà du sentiment d'humanité que je peux avoir pour une personne qui (se) donne tant à un public toujours un peu plus assoiffé de tripes et de rab de minutes de concert ? Si j'étais vraiment forte, droite et cohérente dans ma tête, je dirais que je m'en fiche, mais je ne suis pas forte. Je vois que son corps souffre et cela m'attriste. Je n'appelle pas cela du déni, mais de la distance quant à son intimité et finalement, du respect.
Après, quand on est face à une personne qui vient parler publiquement de son addiction à l'alcool ce qui, il me semble, s'appelle l'alcoolisme (et c'est pas un gros mot, je vois trop de gens refuser de l'utiliser sans comprendre pourquoi), je trouve pas ça vraiment respectueux envers cette prise de conscience que de venir poster pour minimiser ce "problème avec l'alcool".
Bref, à la base, je tentais juste de résumer "l'année de Saez vue par les médias" et c'était eux que j'essayais de critiquer par lui, donc comme je m'y prends comme un pied et leur donne juste plus de visibilité en continuant d'alimenter ce sujet qui, je suis totalement d'accord, devrait rester privé, je sors de là
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Moi je crache mon venin à la face du destin !
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